Portrait de Cécile, Ingénieure 3D
Au fur et à mesure de l'année, nous vous présenterons les membres de l’équipe d’Hamel Associés, afin que vous puissiez découvrir les hommes et femmes derrière le cabinet.
Pour ce premier article, nous avons interviewé Cécile, ingénieure 3D au cabinet.
Bonjour Cécile ! Une petite présentation en quelques mots ?
Bonjour, je m'appelle Cécile, je suis ingénieure 3D chez Hamel Associés depuis plus d'un an en CDI !
Pourquoi avoir choisi ce métier ?
À la sortie du lycée, comme beaucoup, je n’avais pas une idée précise du métier que j’envisageais d’exercer, j’aspirais néanmoins à travailler dans le secteur de la construction.
J’ai été acceptée à l’Institut National des Sciences Appliquées de Strasbourg qui dispose de plusieurs spécialités en lien avec la construction
et dont les valeurs correspondaient à celles que je recherchais dans une école post bac (mise en avant des sciences sociales, valoriser la poursuite du sport en parallèle des études …).
À la fin de notre première année, générale pour tous, nous devions choisir une spécialité. Après avoir vu un groupe d’étudiants topographes en TP à l’extérieur, je me suis renseignée sur cette spécialité que je ne connaissais pas à ce moment-là. Finalement, les cours et l’équilibre travail intérieur/extérieur m’ont séduite, je me suis lancée et je n’ai pas été déçue !
À l’heure actuelle, je me focalise essentiellement sur les travaux en lien avec le scanner laser 3D, travaux auxquels j’adore prendre part.
La polyvalence du métier de géomètre m’amène à participer à des projets transversaux nécessitant un laser scanner 3D et d’autres instruments, c’est une chance d’avoir un métier sans routine !
Ça fait quoi, une ingénieure 3D ?
Je travaille essentiellement sur des projets nécessitant l’emploi du scanner laser 3D. Cela peut être dans l’optique d’une copropriété, de simples plans DAO (Dessin Assistés par Ordinateur) de bâtiments (plans d’intérieur, de façade, des coupes) ou l’élaboration d’une maquette en 3D d’une bâtisse. Il m’est arrivé de participer à des projets un peu plus originaux, comme l’élaboration de profils en long d’une falaise en bord de mer !
Une anecdote à raconter ?
Ma carrière est assez courte pour le moment, mais je crois qu’une des choses qui m’a le plus marqué est lors d’un de mes stages en Alsace, nous devions lever des regards d’assainissement, donc les ouvrir. Pour cela il fallait souvent taper dessus avec une masse et je me suis fait fortement sermonner par une dame âgée pendant dix bonnes minutes car, selon ses termes, je devais changer de métier ou sinon j’allais finir avec une hernie discale…
Merci à Cécile et à bientôt pour un nouvel article !
